Gudule, écrivaine pour la jeunesse, surtout, et pour les adultes aussi un peu.
À poil dans la cage aux lions Lorsque les écrivains pour la jeunesse se retrouvent dans des salons, de quoi parlent-ils ? De leurs interventions scolaires, en général. Pas les bonnes, bien sûr, les catastrophiques. Celles qui leur ont laissé un goût amer...
Lire la suiteLa dame patronnesse Sur la fin de sa vie, ma mère était atteinte de la maladie d’Alzheimer. Si cette dégradation de la personnalité est navrante, elle donne parfois lieu à des situations du plus haut comique. Mes parents aimaient les « belles fréquentations...
Lire la suiteLa bourse ou la vie En 1995, je fais le grand saut. C’est-à-dire que je laisse tomber mon boulot de journaliste pour me lancer à corps perdu dans l’écriture. Mais bon, même si je lutine mon clavier du matin au soir (quand ce n’est pas du soir au matin),...
Lire la suiteJe ne sais pas si on le trouve déjà en librairie, mais moi, je l'ai reçu. Le mieux, pour se le procurer, est sans doute de le commander directement sur le site de Rivière Blanche (www.riviereblanche.com) ou chez M. Philippe Laguerre, 36 rue de Foulon,...
Lire la suiteValeur sûre Du classique ? Allez, de l’ultra-classique, il ne faut jamais bouder son plaisir. Mais je vous préviens, ce gag, vous l’avez vu cent fois (à défaut, peut-être, de l’avoir vécu). En 1983, je tombe folle amoureuse d’un très beau jeune homme,...
Lire la suiteGorge profonde Beyrouth, 1966. Le grand cinéaste Youssef Chahine cherche des figurants pour un film dont j’ai oublié le titre, avec en vedette la chanteuse Sabbagh. Notre petite bande de potes est embauchée pour jouer le public d’une boîte de nuit. Le...
Lire la suiteOrgueil et préjugés Avril 1965. Je pars pour le Liban avec mon bébé de vingt jour. — Fais attention à toi, me recommande ma mère en m’emmenant à l’aéroport. Tu vas dans un pays où les femmes sont voilées et les hommes en manque. N’adresse pas la parole...
Lire la suite11 septembre Le 11 septembre 2001, à 14 h 46, j’étais sur le fauteuil du dentiste, la bouche grande ouverte, une pompe à salive sous la langue. En face de moi, il y avait une télé allumée, destinée à distraire les patients, mais sans le son pour ne pas...
Lire la suiteL’ogresse 1985. Sur les conseils d’une amie écrivaine, j’envoie mon premier roman — choupinettemennt intitulé « Autopsy d’une conne » — à Françoise Verny, alors papesse de l’édition française. Comme je ne connais rien aux milieux littéraires, j’ignore...
Lire la suiteJe ne veux pas mourir avec une culotte sale Ne vous y trompez pas : ce n’est pas le titre de l’anecdote qui suit, mais bien celui d’un de mes livres. Ou, du moins, ça aurait dû l’être... Il y a une bonne dizaine d’années, j’avais, donc, écrit un roman...
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